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Actualités

10/08/17

Il y a 72 ans, en août 1945, les deux premières bombes atomiques anéantissaient Hiroshima et Nagasaki.

La paix n’est pas seulement l’absence de guerre mais le principe de rapports humains fondés sur la libre coopération de tous pour le bien commun.

Une paix durable est une condition préalable à l’exercice de tous les droits et devoirs de l’être humain.

Ce sont toujours les civils, les enfants, quelles que soient leurs origines, qui sont les premières victimes des guerres et des situations de pauvreté qu’elles engendrent.

La misère, le désespoir, le chômage et la détresse alimentent les conflits.

Les éradiquer est une des conditions de paix.

Le mouvement syndical a donc un rôle à jouer, une contribution spécifique à apporter, dans la recherche de la paix. La situation sociale est un élément constitutif de la recherche
et du maintien de la paix.

La prévention durable des conflits nécessite de s’investir dans les cultures de la paix et de disposer d’institutions et de structures dédiées à la résolution non violente des conflits.

L’ONCF réitère son opposition à toutes formes de violence, d’où qu’elles viennent, et de punitions collectives à l’encontre des populations civiles, son engagement pour un monde exempt d’armes de destruction massive et prône le désarmement.

En outre, bien que rien ne puisse remplacer la légitimité démocratique des citoyens pour garantir la paix et la justice et la place du dialogue dans la résolution des conflits, l’ONCF rappelle l’importance du droit international et le rôle essentiel que joue l’Organisation des Nations unies (ONU) dans la prévention des conflits.

Lorsqu’il existe une menace contre la paix, une rupture de la paix ou un acte d’agression, il convient de privilégier l’action collective du Conseil de sécurité des Nations Unies par le biais du Chapitre 7 de la Charte des Nations unies, plutôt que des interventions étatiques menées unilatéralement.

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